Ca faisait un moment que j'avais envie de créer un mini album de mes petites Demoiselles avec peu de photos, mais je ne savais pas trop comment m'y prendre. Quand j'ai vu le tutoriel proposé par Virginie sur le forum Tempor'elles, avec ses 4 photos, j'ai aussitôt pensé aux 4 saisons et je me suis lancée ! Voici donc la saison 1, soit l'année 2008, d'"être sœurs" :
Une petite boîte (désolée pour la photo ratée !)
contient un mini album
qui se déplie et comporte un volet par saison
des pochettes contiennent chacune un "tag" avec une photo
Reste à se lancer pour réaliser les saisons suivantes !
dimanche 27 février 2011
mardi 22 février 2011
Mes envies du mardi - bilan de février
Déjà le bilan du mois de février, le temps file trop vite pour moi ! Je suis plutôt contente car ce bilan est meilleur que celui du mois dernier (en même temps, faire pire aurait été difficile !!).
Ma première envie du mois était un peu sibylline : j'avais juste envie "que tout se passe bien" ! Nul doute que vos petits mots de soutien ont fait leur effet puisque ce jour-là j'ai réussi du premier coup ... l'épreuve du code de la route ! A mon grand âge, il était temps que je le passe !
Ma deuxième envie était un peu plus vague mais aussi plus communément partagée : une envie d'ailleurs. Celle-ci n'est pas encore réalisée mais avec les vacances qui débutent je compte bien vadrouiller un peu avec ma petite famille.
Troisième envie formulée, troisième envie assouvie : une envie de nouveau(x) bijou(x) ! Bon, je n'ai pas eu de diamant comme mon illustration le suggérait :-) mais j'ai la chance (et la malchance, paradoxalement, car elle a aussi tendance à reprendre ce qu'elle me donne sans prévenir pour défaire et refaire autrement !!)) de partager ma vie avec une "fabriqueuse de bijoux" qui m'a fait une nouvelle parure pour aller avec mes nombreux vêtements rouges :
Mon bilan est donc plutôt bon, j'en suis bien contente ! Et vous, quel est votre bilan ? Cappuccinette tient à jour la récap' de toutes nos envies, allons voir ce qu'il en est.
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Mon envie du mardi
dimanche 20 février 2011
La Forêt de Miyori de Hideji ODA
"Le problème, c'est qu'on n'est pas de taille, tous seuls. On a toujours besoin de l'aide des humains. Quoiqu'on préfèrerait se passer d'eux."
Je ne suis pas fan des mangas mais comme mes élèves adorent ça, j'en ai acheté quelques uns en glanant des conseils à droite à gauche et j'étais curieuse de me faire mon opinion sur ces titres. J'ai choisi de commencer par La Forêt de Miyori d'Hideji Oda, dont la couverture est vraiment belle.
Miyori est une toute jeune fille de 11 ans que tout le monde voit comme une rebelle alors qu'elle est d'abord une petite fille qui souffre de la séparation de ses parents qui lui vaut d'être coupée de ses habitudes (elle quitte Tokyo pour la campagne) afin d'être confiée à ses grands-parents.
Dès son arrivée, Miyori part dans la forêt qui jouxte la maison de ses grands-parents. Très vite, la petite fille rencontre d'étranges créatures et il s'avère qu'elle partage avec sa grand-mère la faculté de voir et de communiquer avec des esprits, des êtres qui peuplent cette forêt. Ils lui apprennent que le lieu est menacé par un projet de construction de barrage qui va inonder et donc faire disparaître toute la région. Miyori mobilise alors les enfants de sa nouvelle école pour tenter de sauver la forêt ...
Ce manga en 8 courts épisodes se lit d'une traite car le lecteur est vite impatient de connaître l'issue de la quête de Miyori. Le mélange entre l'univers merveilleux de la forêt et la sombre réalité de l'appât du gain au détriment de la nature et des hommes est plutôt bien mené.
J'ai aimé les messages que ce manga véhicule, d'une part qu'il ne faut pas craindre l'Autre mais prendre le temps de le connaître, d'autre part qu'il faut se battre pour ce qu'on croit juste. A bien des égards, La Forêt de Miyori s'apparente à un conte.
Le trait qui dessine le visage de Miyori est doux et charmant. Pour autant, je ne suis toujours pas séduite par ce graphisme en général car je trouve que les pages sont saturées voire un peu étouffantes et je suis vite agacée par les "ah", "hein ?" "...", etc omniprésents et qui, à mon très humble avis, gâchent un peu cette jolie histoire. Je suis donc en même temps séduite par ce manga-là sans être convaincue par le genre en général mais je trouve que c'est une belle lecture pour nos ados !
vendredi 18 février 2011
Terrienne de Jean-Claude Mourlevat
"(...) il roulait au ralenti sur cette étroite route bordée d'herbes hautes. Il évoluait comme dans un rêve dont on aurait réglé parfaitement la netteté de l'image et du son, ajusté les reliefs et la densité, jusqu'à lui donner l'apparence hallucinante de la réalité. Un rêve dont la durée n'aurait pas été distordue comme dans les vrais rêves, mais serait au contraire restée constante et réaliste."
Comme à chaque fois, il m'a fallu quelques jours pour digérer ce roman de Jean-Claude Mourlevat et trouver les mots pour en parler. Parce que comme à chaque fois j'en suis sortie troublée, un peu décontenancée, charmée aussi bien sûr. Je n'ai pas tout aimé pourtant mais c'est ça la force de cet écrivain : il crée de tels univers en équilibre entre le merveilleux et l'obscur qu'on ne sait pas lui résister, on se laisse porter par l'écriture, par les personnages et on accepte les moments de flottement tant ils sont compensés par une histoire qu'on n'a pas envie de lâcher.
Dans Terrienne, Anne cherche sa sœur avec une volonté désespérée qui lui fait braver tous les dangers, à commencer par celui de se juger folle elle-même en traversant, en toute conscience, la frontière impalpable du monde des humains. On découvre avec elle un univers parallèle peuplé d'êtres aussi parfaits (sains, dénués des passions des hommes) qu'effrayants et pathétiques (car justement sains et dénués de passions !). Un monde parallèle qui craint mais capture des terriennes. Un monde parallèle où tout est aseptisé, protégé mais où pourtant parfois les gens s'assoient parce qu'ils ne veulent plus jamais se relever tant leur désarroi est grand.
L'histoire est étrange, saisissante mais ce que j'ai aimé, surtout, ce sont les personnages : Anne qu'on voit grandir et s'affirmer ; sa sœur Gabrielle qui fait le chemin inverse, elle si sûre de son destin au début et si fragile ensuite : le vieil écrivain, Etienne, émouvant et attachant ; madame Stormiwell pour laquelle on tremble mais qu'on admire ; Bran dont on se méfie et qui va peu à peu amener le lecteur à changer son regard ...
Terrienne est un roman très troublant car ce monde qui se revendique si antinomique au nôtre lui ressemble : ces êtres qui craignent et fuient les humains, qui font tout pour s'en protéger et sont fiers de ne pas respirer comme eux m'ont fait penser à certains de nos comportements et pas des plus glorieux ... En effet, la peur et le rejet de l'Autre, l'aseptisation ne sont pas l'apanage de ces êtres d'ailleurs !
Il y a du Barbe Bleue mais aussi du camp d'extermination (comment ne pas y penser dans les pages consacrées à Estrellas ?) dans ce roman ...
Avec Terrienne, Jean-Claude Mourlevat nous offre un roman qui, en nous conduisant sur une simple petite route de campagne, nous fait basculer dans un monde (pas tout à fait ?) imaginaire dont on ne ressort pas tout à fait indemne.
La photo de JC Mourlevat a été empruntée sur le site de Babelio.
jeudi 17 février 2011
Vouloir toucher le ciel
Je manque d'inspiration mais pas d'envie de scrapper alors je me laisse guider par les dictées proposées sur les forums, comme par celle de Fée du scrap mardi soir. J'ai choisi une photo qui a un sens particulier pour nous : un dimanche de mars 2010, alors que nous étions à l'école primaire du quartier pour glisser notre bulletin dans l'urne, l'esprit préoccupé par l'issue qui se profilait pour cette élection présidentielle, les Demoiselles, riches de l'insouciance des enfants, jouaient à la marelle dans la cour ...
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les apprenties scrappeuses
mardi 15 février 2011
Mon envie du mardi - Février # 3
Dernière envie de février avant le bilan ! Cette semaine, j'ai décidé de rester simple, peu exigeante, réaliste ... j'ai "juste" envie d'un nouveau bijou ! Bah quoi ??
Et vous les copinettes, de quoi rêvez-vous ? Cappuccinette, l'instigatrice des envies du mardi nous le dira dans sa récap !
Et vous les copinettes, de quoi rêvez-vous ? Cappuccinette, l'instigatrice des envies du mardi nous le dira dans sa récap !
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vendredi 11 février 2011
Le grain de sel des Demoiselles # 25
Le livre du moment a été offert à ma grande Demoiselle qui se passionne pour les licornes depuis des mois, mais il est aussi plebiscité par la MiniRikiki qui en adore la fin. C'est drôle de voir comment leurs deux caractères pourtant si différents trouvent leur compte dans ce joli récit !
La Licorne de Martine Bourre ("Lutin poche" de l'Ecole des Loisirs) raconte l'histoire du petit roi d'un petit royaume qui est ébloui un jour par une licorne qu'il voit dans la forêt. Il rêve aussitôt de la retrouver pour l'offrir à sa petite reine. Il confie cette mission au chevalier Petitpas et il lui décrit l'animal qu'il doit trouver : "Cet animal est blanc comme la neige, il court plus vite que le vent et porte une corne sur son front."
Malgré tous ses efforts, le chevalier Petitpas n'est pas très doué : il ramène d'abord une aigrette qui est bien blanche mais n'a que deux pattes et non quatre ; il ramène alors une chèvre mais celle-ci a deux cornes donc une de trop ; il capture un rhinocéros mais le petit roi n'est toujours pas satisfait ... La licorne finira par s'approcher d'elle-même du royaume où elle va vivre quelque temps. Malheureusement, elle tombe malade. Le petit roi et la petite reine doivent se rendre à l'évidence : la licorne a besoin de la forêt pour vivre. Alors qu'ils l'accompagnent vers la forêt, une tempête de neige s'abat sur le royaume mais cela n'empêche pas la licorne de reprendre des forces à chaque pas car la neige, le vent, le ciel guérissent son mal ...
Voilà un joli conte, plein de merveilleux comme aime ma grande Demoiselle, qui prône la liberté qui fait rêver ma MiniRikiki. Le récit ne manque pas d'humour et les erreurs du chevalier Petitpas invitent les enfants à bien écouter la description de la licorne puis à observer les animaux rapportés pour trouver en quoi ils ne conviennent pas au petit roi.
mercredi 9 février 2011
Mon envie du mardi - Février # 2
Avec quelques heures de retard, voici ma deuxième envie de ce mois de février, une envie que je crois partagée par beaucoup en cette fin d'hiver : une envie d'ailleurs. Même si je vis entre 3 villes et que donc je vois du paysage, même si aucune de mes journées ne ressemble à celle de la veille depuis des mois, le quotidien me pèse en ce moment et j'ai envie de voir autre chose, surtout, de voir de jolies choses. Mon regard a besoin d'être saisi par des images neuves, d'une beauté toute simple mais qui remplit l'âme et le cœur de sensations nouvelles.
Photo prise à Gand, en Belgique, en août 2009 (déjà !)
Et les copines d'envies, de quoi rêvent-elles cette semaine ? D'un clic, allons chez Capp' découvrir cela !
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Mon envie du mardi
lundi 7 février 2011
Je tricote, je détricote, je tricote ...
Mon premier "vrai" tricot (hors les classiques écharpes / bonnets / snoods) est une véritable œuvre collective ! En effet, il m'aura fallu pas moins de trois copines tricoteuses (et fort patientes , merci les filles !!) pour m'aider à comprendre chaque ligne du modèle, ainsi que deux copines-qui-font-des-bébés puisque j'ai mis tant de temps à le réaliser que le bébé à qui je destinais ce petit gilet sans manche a eu l'outrecuidance de grandir plus vite que je ne tricote ! Heureusement, les copines qui font des bébés ne manquent pas et c'est un bébé pas encore né (eh eh, c'est plus sûr, vu mon rythme !) qui aura l'immense honneur d'hériter de cette œuvre de jeunesse que je renierai sans doute dans quelques années ... Enfin, voilà la chose :
avec ce que je préfère : son bouton girafe !
Il y a quelques défauts mais je suis tout de même contente d'en être venue à bout d'autant que ce tricot a été l'occasion pour moi d'apprendre un tas de petites techniques.
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tricot
vendredi 4 février 2011
800 pages et trois petits mots
Le hasard me fait enchaîner des lectures âpres et bouleversantes dont j'ai bien du mal à parler ensuite. Trois d'entre elles occupant encore une grande place dans mon esprit même des jours voire des semaines après avoir refermé les livres, je me décide à en dire quelques mots, bien maigres au regard de ce que j'ai éprouvé à la lecture, mais quelques mots qui seront comme des petits cailloux sur mon chemin de lectrice qui se perd parfois.
Il y a d'abord eu cet étrange Mariage de Dominique Hardenne de Vincent Engel, que m'a gentiment prêté Melmélie (clic !). L'entrée dans ce roman est si brusque, si violente avec ce personnage qui marche sur une terre brûlée où tout a été dévasté, que j'ai aussitôt songé à un champ de bataille pendant la première guerre mondiale. Cette vision ne m'a pas vraiment quittée durant ma lecture, même s'il est évident dès les premières pages que le récit se situe dans une époque plus proche de nous : l'homme porte une combinaison qui le protège des radiations. J'ai cru aussi être entraînée vers un monde de science-fiction mais non, le présent et le passé dominent les pensées du protagoniste et son monde est trop semblable au nôtre pour relever d'un univers parallèle. Peu à peu le lecteur parvient à reconstituer le chemin parcouru par cet anti-héros solitaire qui semble être le dernier survivant d'un monde mort, qui pousse les portes de maisons désolées comme il pousse les portes de souvenirs qui le laissent à la fois en souffrance et plein de volonté de reconstruire un avenir. Je n'ai pas souvenir d'avoir lu un roman qui me place dans une telle incertitude ...La langue quant à elle est belle, à la fois très simple (voire enfantine quand le personnage s'attend à voir surgir sa maman) et imagée ; d'ailleurs des photographies jouent un rôle essentiel dans ce récit. Etrange lecture !
J'ai avancé comme la nuit vient de Jean-François Haas m'a été envoyé par la librairie Dialogue que je remercie sincèrement car sans elle j'aurais manqué cette drôle d'expérience de lectrice. Séduite par ce joli titre poétique, j'ai été déroutée par le style et par cette volonté d'égarer le lecteur, au point que j'ai fini par picorer des pages ou même des passages ici ou là, sautant des pages, revenant en arrière, relisant certains paragraphes. Le récit est découpé en 7 chapitres, chacun portant le nom d'un jour de la semaine. Merel, le narrateur, s'adresse à lui-même en se tutoyant, il se raconte ses rencontres, son empathie pour les autres mais aussi sa confrontation au rejet de l'autre qui saisit sa ville. Je n'ai pas réussi à tout lire, encore moins à tout comprendre, mais, paradoxalement, cela n'empêche pas l'intérêt pour ce récit qui relève davantage de l'expérience d'écriture / de lecture que de l'envie habituelle de se plonger dans un livre qui va nous offrir un peu d'évasion. Ce doit être un peu cela, l'inquiétante étrangeté dont parlait Freud ...
Il y a d'abord eu cet étrange Mariage de Dominique Hardenne de Vincent Engel, que m'a gentiment prêté Melmélie (clic !). L'entrée dans ce roman est si brusque, si violente avec ce personnage qui marche sur une terre brûlée où tout a été dévasté, que j'ai aussitôt songé à un champ de bataille pendant la première guerre mondiale. Cette vision ne m'a pas vraiment quittée durant ma lecture, même s'il est évident dès les premières pages que le récit se situe dans une époque plus proche de nous : l'homme porte une combinaison qui le protège des radiations. J'ai cru aussi être entraînée vers un monde de science-fiction mais non, le présent et le passé dominent les pensées du protagoniste et son monde est trop semblable au nôtre pour relever d'un univers parallèle. Peu à peu le lecteur parvient à reconstituer le chemin parcouru par cet anti-héros solitaire qui semble être le dernier survivant d'un monde mort, qui pousse les portes de maisons désolées comme il pousse les portes de souvenirs qui le laissent à la fois en souffrance et plein de volonté de reconstruire un avenir. Je n'ai pas souvenir d'avoir lu un roman qui me place dans une telle incertitude ...La langue quant à elle est belle, à la fois très simple (voire enfantine quand le personnage s'attend à voir surgir sa maman) et imagée ; d'ailleurs des photographies jouent un rôle essentiel dans ce récit. Etrange lecture !
J'ai avancé comme la nuit vient de Jean-François Haas m'a été envoyé par la librairie Dialogue que je remercie sincèrement car sans elle j'aurais manqué cette drôle d'expérience de lectrice. Séduite par ce joli titre poétique, j'ai été déroutée par le style et par cette volonté d'égarer le lecteur, au point que j'ai fini par picorer des pages ou même des passages ici ou là, sautant des pages, revenant en arrière, relisant certains paragraphes. Le récit est découpé en 7 chapitres, chacun portant le nom d'un jour de la semaine. Merel, le narrateur, s'adresse à lui-même en se tutoyant, il se raconte ses rencontres, son empathie pour les autres mais aussi sa confrontation au rejet de l'autre qui saisit sa ville. Je n'ai pas réussi à tout lire, encore moins à tout comprendre, mais, paradoxalement, cela n'empêche pas l'intérêt pour ce récit qui relève davantage de l'expérience d'écriture / de lecture que de l'envie habituelle de se plonger dans un livre qui va nous offrir un peu d'évasion. Ce doit être un peu cela, l'inquiétante étrangeté dont parlait Freud ...
Enfin, il y a eu cette Lettre morte de Linda Lê qui est un récit profondément remuant. Il y est question de deuil, d'amour et de solitude, de perte, de remords, d'exil ... Une femme perd son père le jour où elle quitte son amant. Le premier devient l'homme idéal tandis que l'autre est jugé coupable du désamour qui les a séparés. Adressant une longue et dense lettre (pas un seul alinéa en un peu plus de 100 pages) à un interlocuteur muet, la narratrice exprime, extériorise plutôt, les sentiments, les émotions qui la figent dans un état de douce violence, proche d'une folie presque nécessaire pour survivre. On se sent comme en apnée à la lecture de ce texte qui ne respire jamais mais qui, étrangement, berce. J'ai surtout été touchée par les premières pages dans lesquelles la narratrice crie son remords de n'avoir pas répondu à la dernière lettre de son père. A ces mots, je me suis demandé si le deuil le plus difficile n'était pas celui de la petite fille qu'elle était auprès de son père que celui de son père lui-même ... C'est beau, c'est poignant, c'est dérangeant, aussi.
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mardi 1 février 2011
Mon envie du mardi - Février # 1
Nouveau mardi, nouvelle envie! Ca tombe on ne peut mieux aujourd'hui car, justement, c'est un jour particulier et important pour moi et j'ai une envie toute simple : que tout se passe bien ! Bon, je reconnais que ce billet et cette envie sont bien mystérieux mais, justement, si "tout se passe bien", vous en saurez plus au moment du bilan, à la fin du mois ...
Allons voir à quoi rêvent Cappuccinette et les copinettes aujourd'hui : clic !
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