mercredi 30 juin 2010

Un smoothie et ça repart !

Plus que deux jours d'école et de nourrice : il est temps que ça s'arrête car mes petites demoiselles sont bien fatiguées ! Aux petit maux les bons remèdes, pour le goûter je leur ai préparé un smoothie pour leur redonner un peu d'énergie !
Pour 4 grands verres.
Dans un blender, couper une banane, deux kiwis, quatre abricots. Verser deux yaourts à la grecque, un peu de cassonade et des glaçons. Mixer longuement le tout et servir ! 



Toute reboostée, ma grande Demoiselle a voulu faire du scrap avec une photo d'elle et de l'un de nos chats, Charlus. Et voilà !






Posted by Picasa

dimanche 27 juin 2010

L'Amour secret de Paola CALVETTI

"En lui tendant cette dernière missive, j'avais conscience que nous étions entrées peu à peu, elle et moi, dans une étrange relation où ces lettres, au fond, n'étaient plus que les bribes d'une histoire inachevée. N'est-il pas plus sage de déchirer son passé ?"

Il y a un peu plus d'un an, je découvrais Paola Calvetti grâce à Suzanne dequi me proposait de lire L'Amour est à la lettre A. J'avais été déçue par cette lecture alors quand Suzanne m'a recontactée pour me proposer L'Amour secret du même auteur, j'ai accepté avec enthousiasme car c'était l'occasion de m'en faire une nouvelle opinion.

A la mort de son père, Lucrezia découvre une boîte contenant une correspondance entre ce père et une femme qui n'est pas sa mère. Comprenant ainsi qu'il a mené une double vie, elle écrit à cette femme et demande à la rencontrer. Cette dernière, âgée de 74 ans, accepte de recevoir la jeune femme chez elle et, le temps d'un week end,  elle lui raconte cet amour. 

Comme pour L'Amour est à la lettre A, j'ai été séduite par le sujet de ce livre mais déçue lors de ma lecture ... Il y a bien de jolis passages, surtout dans le dernier tiers, mais j'ai été gênée par deux choses : d'une part, trompée peut-être par la couverture, je m'attendais à lire un roman épistolaire. Or, ce n'est pas le cas, ou du moins pas exactement. Les lettres de Constanza au père de Lucrézia sont parfois citées mais elles ne constituent pas l'essentiel de ce roman. Toutefois, l'ensemble du roman se présente comme une seule (et donc bien longue) lettre adressée par Constanza à l'une de ses amies et ce dispositif, à mon humble avis, ne fonctionne pas. En effet, cette lettre qui subit le découpage en chapitres, qui intègre des extraits de lettres anciennes, des passages narratifs, des dialogues, est peu crédible. D'ailleurs, elle n'a pas de fin, un peu comme si l'auteur l'avait abandonnée en cours de route ... et je n'ai pas bien compris l'intérêt ni le sens de cette construction. D'autre part, même si ces deux femmes qui se découvrent sont touchantes, là encore j'ai trouvé peu crédible qu'une vieille femme confie aussi spontanément des événements si intimes à une inconnue, qui plus est à la fille de son ancien amant. Le style quant à lui est tantôt plaisant, tantôt maladroit par exemple lorsqu'il est émaillé de citations ou de phrases un peu convenues sur l'amour. 

J'ai donc été déçue, sans pour autant pouvoir affirmer que je n'ai pas aimé ce livre. Paola Calvetti a de belles idées, dommage que sa manière de les mettre en mots me laisse sur le quai.

Merci à Suzanne et aux Presses de la Cité pour cette lecture !

jeudi 24 juin 2010

Boîte à déj # 28

8è participation au DBH de Capp' : deux mois déjà !! Je ne suis pas sûre de tenir le rythme durant les vacances scolaires mais, pour le moment, je "bentoïse" toujours avec plaisir. La semaine dernière, pour mettre un peu de soleil dans mon bentô puisqu'il pleuvait et faisait froid dehors, je me suis préparé un déjeuner en forme de pique-nique et j'ai donc tout naturellement choisi ma jolie boîte Picnic rose et beige :




Dans le compartiment de gauche, de haut en bas :
* du jambon blanc 
* une galette de légumes (courgettes, carottes et petits pois)
* du melon
* de la vinaigrette dans la petite boîte jaune

Dans le compartiment de droite, de haut en bas :
* un duo saucisson / cantal
* de la laitue
* un duo fraise / pomelos
* deux petits carrés de biscuit au chocolat fourré à la crème anglaise (une tuerie, je vous le dis !!)
Posted by Picasa

mercredi 23 juin 2010

Gâtée !

Certes, le mois de juin n'est pas celui que les enseignants préfèrent car entre les corrections du bac et du brevet, les conseils de classe, les réunions à n'en plus finir et les élèves surexcités, c'est un mois généralement bien fatigant ! Toutefois, c'est aussi le mois des "au-revoir, à l'année prochaine" et, à cette occasion, certains élèves prennent plaisir à nous écrire de petits mots sur des cartes de leur fabrication. Cette année, l'une de mes classes a appris je ne sais comment que non seulement je ne serai plus là à la rentrée prochaine mais qu'en plus je ne serai plus non plus professeur de Lettres et ... cela les intrigue beaucoup ! Pour fêter cet événement ensemble, ils m'ont réservé une belle surprise et, outre les petites douceurs dont vous ne verrez pas de photos puisque nous les avons englouties très vite, ils m'ont offert des cadeaux "à lire et à écrire" ! Voyez plutôt :
plein de gentils petits mots


un livre choisi spécialement pour que je le lise avec ma grande Demoiselle
un stylo plume avec ses cartouches, des feutres (parce que je leur piquais toujours les leurs lors de notre atelier "journal d'un lecteur") ainsi qu'un carnet rigolo :


et ... un étrange coffret vert et doré


Posted by Picasaqui contient tout le nécessaire à la calligraphie chinoise : plusieurs plumes, un porte-plume, une coupelle pour y faire fondre un bâton d'encre (je ne connais pas le nom exact), de la cire, une petite cuillère pour mélanger le tout et un sceau :

J'ai vraiment été gâtée !!

dimanche 20 juin 2010

Y a pas d'embouteillage dans le désert ! de Moussa AG ASSARID

"Voyager, c'est aller de soi à soi, en passant par les autres."

J'ai eu la chance de rencontrer Moussa Ag Assarid avec mes élèves il y a quelques semaines et cet événement est de ceux qui changent le regard ... Sa simple présence est un dépaysement puisque, bien que vivant en France, il porte le boubou et le chèche bleus des touaregs. Il a prononcé ses premiers mots dans sa langue maternelle pour nous en faire entendre la musique et pour nous transporter en quelques minutes dans le désert malien. D'ailleurs, il nous a aussitôt invités non pas à une rencontre ou à un échange mais à un voyage et c'est vraiment ainsi que nous avons vécu cette heure et demi passée ensemble ! Il s'agit cependant d'un voyage particulier car nous nous sommes autant découverts nous-mêmes que nous avons appris à connaître Moussa et les siens, d'où la citation que j'ai choisie de placer en exergue de ce billet.
Quelques jours avant, pour préparer cette rencontre, j'ai lu son premier livre, Y a pas d'embouteillage dans le désert ! 

Le sous-titre, Chronique d'un Touareg en France résume la substance de ce livre qui s'ouvre sur une brève introduction qui résume l'enfance, l'adolescence de Moussa et raconte son départ pour Angers. Dès le premier chapitre, Moussa arrive en France et autant son regard ne cessera plus de s'étonner, autant son esprit ne cessera plus de mettre en perspective notre culture française avec la sienne d'homme du désert. Les chapitres, relativement brefs, sont construits autour d'une anecdote ou d'une réflexion et  invitent les lecteurs occidentaux à découvrir une culture étonnante mais aussi à envisager leur mode de vie d'un œil nouveau. L'auto dérision (l'épisode de la première douche à l'hôtel est à présent célèbre) côtoie la critique acérée d'habitudes que nous ne voyons même plus. 
Outre, une confrontation du quotidien dans ces deux cultures, des sujets bien différents sont abordés comme le rêve, la foi, la place de la femme, l'amour, l'intimité, la mode et l'apparence, la liberté ... et j'en oublie beaucoup ! Personnellement, à la lecture de ce livre j'ai découvert une façon de penser, d'être, j'oserai dire une philosophie qui me fait mettre en perspective bien des attitudes que nous adoptons sans assez y penser. J'ai vécu la découverte de la vie des touaregs comme un choc culturel mais ma propre culture vue de si loin s'est aussi révélée être un choc pour moi. C'est un livre qui ne s'oublie pas !

samedi 19 juin 2010

Boîte à déj # 28

L'autre jour, ma moitié est rentrée avec un petit cadeau surprise pour moi : une nouvelle boîte à déj' ! Je l'ai aussitôt utilisée pour ma 7è participation au DBH de Capp' et je l'aime déjà car elle est assez profonde pour contenir le mini bol que Capp (encore elle !) m'a offert il y a quelques mois et qui est bien pratique pour y mettre des fruits (afin que le jus ne coule pas). Voici donc mon nouveau bentô :



avec en entrée, des flutes de pâte feuilletée au gruyère faites maison et coupées en deux (en haut à gauche) et des radis (en haut à droite)
en plat du poulet fumé et des pâtes torsadées de deux couleurs
en dessert une poire

Posted by Picasa

mercredi 16 juin 2010

Ubu roi d'Alfred JARRY



"Merdre !"

Le tout nouveau défi proposé par Leil m'a donné très envie de fouiner dans ma bibliothèque à la recherche d'une pièce à lire ou relire et, évidemment, je suis ressortie de cette exploration avec toute une pile de pièces de théâtre ! La première que j'ai relue avec bonheur est Ubu Roi d'Alfred Jarry qui est tout de même l'une des pièces les plus fantaisistes que je connaisse !

Lorsque le rideau se lève, Ubu n'est pas du tout roi, tout au contraire : c'est un homme fruste, sans ambition,  que sa femme mène par le bout du nez. C'est elle qui l'incite à fomenter un complot pour détrôner le roi de Pologne et prendre sa place. La provocation et le rire gras dominent mais lorsqu'Ubu devient roi et se révèle être un vrai tyran, le rire se fait grinçant ...

Ubu Roi est une œuvre de jeunesse dont le personnage éponyme a été inspiré à Jarry par son professeur de physique. D'autres pièces suivront et l'ensemble formera un cycle. Evidemment, lors de sa première représentation en 1896, la pièce fait scandale et elle n'est d'ailleurs entrée que très récemment (2009 !) dans le répertoire de la Comédie Française.

Les clins d'œil à de grands dramaturges sont nombreux (Sophocle et Shakespeare pour ne citer qu'eux), les jeux avec le langage rendent le texte savoureux, le mélange des genres et des registres donne une pièce difficilement classable et c'est tant mieux. Ubu est un personnage à la fois enfantin par sa naïveté et effrayant à cause de sa  cruauté  gratuite : il renvoie chaque spectateur à la part la plus sombre de lui-même, à la basse animalité de l'homme. La gravité ne s'installe cependant jamais, tant le grotesque la talonne constamment.
Ubu Roi est un classique extrêmement riche qu'il faut lire absolument ! J'en profite pour intégrer cette lecture au défi de MarieL.

lundi 14 juin 2010

Le panier du mois de juin

Les framboises arrivent, remplissez en vite votre panier ! 

Ici, on les mange généralement soit natures, soit mélangées à du fromage blanc mais, une fois n'est pas coutume, j'ai voulu les déguster autrement et nous avons adoré le tiramisu aux framboises !


Séparer les blancs des jaunes de deux œufs. Réserver les blancs dans un grand bol. Fouetter longuement les jaunes avec 250 grammes de mascarpone et 50 grammes de sucre.
Monter les blancs en neige ferme avec une pincée de sel. Les incorporer délicatement au mélange de mascarpone et réserver au réfrigérateur.
Trier et essuyer 150 grammes de framboises. Réserver quelques unes des plus belles (2 par verrine). Mixer les autres avec 10 à 20 grammes de sucre. Allonger avec un peu d'eau puis mixer à nouveau.
Verser du coulis au fond des verrines. Briser grossièrement des biscuits (j'ai choisi des palets bretons, miam !) et déposer délicatement les morceaux sur le coulis ("délicatement" pour qu'ils restent dessus sans trop s'enfoncer). Remplir une poche à douille de mascarpone et en recouvrir les biscuits. Disposer deux framboises dessus.
Réserver au moins deux heures au réfrigérateur avant de servir.

Posted by Picasa

jeudi 10 juin 2010

Boîte à déj' # 27

Voici déjà ma 6è participation au DBH de Capp', ça file ! Bon, j'avoue c'est un bentô mangé depuis déjà 8 jours car la batterie de mon APN était à plat ce soir et je n'ai pas encore photographié le bentô que je me suis péparé pour demain. En outre, ce 27è bentô tient dans ma toute première boîte à déj' alors que je viens d'en recevoir une nouvelle, toute simple et toute chouette aujourd'hui ! 

Dans ce 27è bentô, roboratif et aux couleurs de l'Espagne :-), il y avait :




*en entrée : une salade de tomate et blé (en bas) avec de la sauce soja (dans la petite boîte rouge en haut)
* en plat : des pommes de terre revenues à la poële avec un duo de poulet et canard (en haut)
* en dessert : de la mangue coupée en dés (en bas)
Posted by Picasa

mardi 8 juin 2010

Le fils des brûlés de Laurent BRARD

"Sarole les happait, lui et son passé. Charmante petite ville, calme et accueillante ... Bellem ajustait son regard. La rue avait changé. Le soupçon tapait sur l'épaule du premier venu, s'infiltrait derrière les façades, les rideaux, les persiennes en rez-de-chaussée rabattues pour se protéger des curieux. Parmi les habitants, quelque part, autour, un fantôme, anonyme, n'était plus tout à fait inconnu."

Je ne connaissais ni l'auteur (Laurent Brard), ni la collection (Nuits blanches, chez Plon) mais j'ai été séduite par cette très belle couverture mystérieuse, effrayante : merci à BOB et aux éditions Plon pour ce partenariat ! 

fils_des_brulesAlors qu'il va bientôt retrouver sa liberté en démissionnant de ses fonctions de policier et en s'installant à Sarole, un village reculé, Oscar Bellem ne parvient pas à trouver la paix. Une affaire vieille de 12 ans au cours de laquelle une jeune fille a été sauvagement assassinée le hante. Lorsqu'un corbeau, qui semble très bien connaître Oscar, déterre cette affaire non résolue, le policier se lance à corps perdu dans une enquête qui s'annonce éprouvante.
Fantômes, corbeaux, drame devenu légende peignent alors un tableau inattendu de la petite ville censée être tranquille. Les recherches d'Oscar réveillent de vieux démons et le mènent sur des sentiers où rode la folie qui manque de le saisir à plusieurs reprises.

Même si l'histoire du Fils des brûlés peine un peu à se mettre en route, elle est vite prenante. Le réalisme flirte avec le fantastique et ni l'anti-héros qu'est Bellem ni le lecteur ne résistent bien longtemps à la tentation de se demander si, pour une fois, un fantôme n'existerait pas bel et bien.
J'ai surtout aimé l'originalité de ce roman qui veut qu'assez vite le meurtrier soit identifié et, qu'au lieu de mener à une conclusion, cette révélation ne fasse qu'accroître le suspens, qu'intensifier la pesanteur de l'atmosphère. Drôle de roman policier en effet dès lors que l'assassin n'est finalement pas ce qui est le plus mystérieux !
J'ai aussi aimé les passages, saisissants, troublants, qui traduisent la vision du monde d'un des personnages qui est interné dans un hôpital psychiatrique.
J'ai aimé enfin ne comprendre l'issue qu'une vingtaine de pages avant la fin du roman.
C'est un roman policier à découvrir !

dimanche 6 juin 2010

Les petites mains # 2

Voilà un billet en retard mais que je publie tout de même car il pourra donner des idées à d'autres parents de tout petits. Pour la fête des mères, j'ai aidé ma MiniRikiki à bricoler son premier cadeau "fait main fait cœur" pour sa deuxième maman. J'avoue avoir mis du temps à trouver ce qui conviendrait à son tempérament de feu (elle refuse d'être aidée) et à ses toutes petites mains de petite fille d'à peine deux ans et demi. Finalement, nous nous sommes bien amusées et nous remettrons ça, même sans occasion particulière !




Matériel :
Un dessin à colorier (imprimé d'un site internet)
Des feuilles de couleur
De la colle
Des ciseaux
Eventuellement, un cœur en feutrine
Etapes :
1. Déchirer la première feuille de couleur en petits morceaux et en faire des boulettes.
2. Aider l'enfant à encoller une partie du dessin. 
3. Déposer les boulettes de couleur sur la partie encollée du dessin, appuyer légèrement. Secouer le dessin pour faire tomber l'excédent. 
4. Déchirer la deuxième feuille de couleur et recommencer les opérations jusqu'à ce que tout le dessin soit recouvert. 
[Un adulte peut découper autour du dessin puis le coller sur une feuille d'une autre couleur, pour faire un cadre]
5. Coller un joli coeur.

Et voilà !

Posted by Picasa

vendredi 4 juin 2010

Le grain de sel des petites Demoiselles # 18

Il y a peu, BOB me proposait un partenariat avec les toutes jeunes éditions Philomèle en m'offrant L'Ami Bonnet (billet ici) : mes Demoiselles et moi découvrions alors un livre charmant au format rare. Ainsi, quand Babelio a proposé un nouveau partenariat avec cette même maison d'édition, j'ai immédiatement sauté sur l'occasion et nous ne le regrettons pas !

Construire une machine à bonbons, voilà le rêve d'Albert, le singe gourmand et facétieux qu'on découvre sur la couverture. Malheureusement, malgré des plans précis et du matériel choisi, une telle entreprise n'est pas facile à réaliser et Albert connaît bien des déboires avec sa machine avant qu'elle ne lui offre encore mieux que ce qu'il désire ...

La Machine à Bonbons d'Isabelle Bauer et Laura Nillni est lui aussi d'un format original, ce qui semble être la marque de fabrique des éditions Philomèle. Le livre en tant qu'objet est très agréable à manipuler (les pages sont douces !), à feuilleter (les dessins sont très colorés et plein de détails amusants à observer), fantaisiste comme nous l'aimons. L'histoire a vivement intéressé mes demoiselles dont le regard pétille au simple mot "bonbons" et elles ont été très curieuses d'apprendre comment Albert allait s'y prendre. Ma Grande Demoiselle a aussi beaucoup aimé le texte qui joue sur les mots et sur les sons ! Comme elle commence à vouloir apprendre à lire et qu'elle connaît bien le son "on" qui finit son prénom, elle adore la page qui le reprend en rime à chaque ligne. 


 Voilà donc un petit livre très réussi : histoire, illustrations, mise en page, tout est bien pensé pour faire passer un joli moment aux petits (et grands !) lecteurs.Merci à Babelio  Mes livres sur Babelio.com et aux éditions Philomèle pour ce partenariat !

mercredi 2 juin 2010

Boîtes à déj' # 25 et 26

Pour faire oublier que je n'ai pas participé au DBH de Capp la semaine dernière, voici deux bentôs d'un coup pour ma 5è participation au Défi Bento Hebdomadaire !

Mon 25è bento est des plus simples :
* en entrée : trois tomates cerises (en haut) et un coeur de taboulé (en bas)
* en plat : des tagliatelles au poulet (en bas)
* en dessert : du fromage blanc décoré de quelques mini sucres en forme de cœur et une barre de céréales coupée en morceaux (en haut)




Encore plus simple : mon 26è bentô préparé en 5 minutes (à 1h du matin, ceci explique cela !) :
* En entrée :  encore du taboulé ! 
* En plat : un sandwich suédois au jambon fumé coupé en triangles 
* En desserts : une tranche de brie entre deux demi tranches de brioche et, emballée, une tartelette au chocolat